Je suis tombé sur le doseur pondéral.
Mon TP est exactement le même que celui d'Alexandre Pachot l'année dernière. Il a bien expliqué l'esprit du TP et donne des réponses et des schémas donc je vous conseille d'aller voir.
La première partie, c'est du classique : comparaison système réel-système didactisé, chaîne d'énergie à compléter, machine à faire fonctionner et quelques problèmes à mettre en valeur (capteur qui délivre un signa bruité et "queue de chute".
Deuxième partie : il faut modéliser le capteur. L'idée c'est de prendre un ressort dans une première approche et un ressort avec amortisseur ensuite. On détermine la raideur avec Solide Works.
Troisième partie : il faut vérifier que le modèle donne des résultats cohérent avec les courbes théoriques. Il y a quelques mesures à faire sur un logiciel puis il faut ouvrir un fichier excel. Là, c'est plutôt mal expliqué. Il y a la courbe théorique qui est tracée et un tableau avec un gain et un amortissement à donner. Le gain n'est pas le gain du second ordre de la modélisation mais l'amplitude de la réponse temporel...
Il faut trouver des ordres de grandeur du gain et de l'amortissement puis tâtonner jusqu’à ce que la courbe théorique et la courbe expérimentale se superposent...
Quatrième partie : On considère maintenant le capteur et la trémie. Il faut mesurer la masse de la trémie puis des courbes horribles sont à exploiter.
Cinquième partie : Un petit schéma bloc à étudier pour corriger le problème de queue de chute.
Conclusion : le TP est pas insurmontable mais il faut pas traîner pour faire les mesures.
Mon TP est exactement le même que celui d'Alexandre Pachot l'année dernière. Il a bien expliqué l'esprit du TP et donne des réponses et des schémas donc je vous conseille d'aller voir.
La première partie, c'est du classique : comparaison système réel-système didactisé, chaîne d'énergie à compléter, machine à faire fonctionner et quelques problèmes à mettre en valeur (capteur qui délivre un signa bruité et "queue de chute".
Deuxième partie : il faut modéliser le capteur. L'idée c'est de prendre un ressort dans une première approche et un ressort avec amortisseur ensuite. On détermine la raideur avec Solide Works.
Troisième partie : il faut vérifier que le modèle donne des résultats cohérent avec les courbes théoriques. Il y a quelques mesures à faire sur un logiciel puis il faut ouvrir un fichier excel. Là, c'est plutôt mal expliqué. Il y a la courbe théorique qui est tracée et un tableau avec un gain et un amortissement à donner. Le gain n'est pas le gain du second ordre de la modélisation mais l'amplitude de la réponse temporel...
Il faut trouver des ordres de grandeur du gain et de l'amortissement puis tâtonner jusqu’à ce que la courbe théorique et la courbe expérimentale se superposent...
Quatrième partie : On considère maintenant le capteur et la trémie. Il faut mesurer la masse de la trémie puis des courbes horribles sont à exploiter.
Cinquième partie : Un petit schéma bloc à étudier pour corriger le problème de queue de chute.
Conclusion : le TP est pas insurmontable mais il faut pas traîner pour faire les mesures.